Une livrée spéciale très rafraîchissante pour VisaCashApp RB (VCARB) à Miami.

Il y a 22 h

Un casque spécial #MiamiGP pour Daniel Ricciardo, qui devrait superbement coller avec la livrée unique de sa F1 VCARB.

Il y a 22 h

Le Congrès des États-Unis a envoyé une lettre à la F1 pour demander des explications concernant sa décision de refuser la candidature d'Andretti pour rejoindre le plateau de la compétition avant 2028 au plus tôt.

Dans cette missive, signée par une douzaine de membres du Congrès, sont exprimées des "inquiétudes concernant des actions apparemment anticoncurrentielles qui pourraient empêcher deux entreprises américaines, Andretti Global et General Motors (GM), de participer et de concourir en Formule 1".

Il y a 20 h

Alpine a dévoilé aujourd'hui que David Sanchez est le nouveau directeur technique exécutif de l’équipe, retrouvant ainsi l'établissement d'Enstone, un lieu déjà connu de l'ingénieur français.

Dans cette fonction inédite, il sera à la tête du département technique à Enstone et se chargera des grandes orientations en matière de Performance, d'Ingénierie et d'Aérodynamique de l'équipe.

Dans la nouvelle architecture technique de l'équipe, qui repose sur trois piliers essentiels récemment introduits, David coordonnera les efforts aux côtés de Ciaron Pilbeam (directeur technique performance), Joe Burnell (directeur technique ingénierie) et David Wheater (directeur technique aérodynamique), qui dépendront directement de lui.

Il intègre l'équipe immédiatement et rapportera directement à Bruno Famin, le team principal de l'écurie et directeur d'Alpine Motorsports.

Il y a 17 h

Casque spécial Miami et même "Miami Vice" pour Nico Hülkenberg !

Il y a 9 h

Casque bleu spécial Miami pour le Matador, Carlos Sainz.

Il y a 9 h

Casque spécial Miami d’Esteban Ocon, en collaboration avec Orlinski [de fond].

Il y a 9 h

Haas a présenté ses combinaisons spéciales pour Miami, en partenariat avec son sponsor, Palm Angels.

Il y a 9 h

Škoda montre les premiers croquis de l'Enyaq RS Race concept.

L'étude conceptuelle constitue une plate-forme idéale pour le développement et les tests approfondis de technologies électriques pionnières pour les futures voitures de production électriques à batterie.

L'Enyaq RS Race représente une autre approche du sport automobile électronique, après la Vision GT récemment présentée et la Škoda Fabia RE-X entièrement électrique.

Il y a 9 h

La Ferrari SF-24 avec sa livrée #MiamiGP, IRL.

Il y a 8 h

Le poster pour Miami de Sauber.

Il y a 7 h

Les brefs F1

Ferrari

La Ferrari SF-24 avec sa livrée #MiamiGP, IRL.
 Miami 2024

Haas

Haas a présenté ses combinaisons spéciales pour Miami, en partenariat avec son sponsor, Palm Angels.
 Miami 2024

Esteban OCON | Alpine

Casque spécial Miami d’Esteban Ocon, en collaboration avec Orlinski [de fond].
 Miami 2024

Carlos SAINZ | Ferrari

Casque bleu spécial Miami pour le Matador, Carlos Sainz.
 Miami 2024

Nico HÜLKENBERG | Haas

Casque spécial Miami et même "Miami Vice" pour Nico Hülkenberg !
 Miami 2024

Alpine

Alpine a dévoilé aujourd'hui que David Sanchez est le nouveau directeur technique exécutif de l’équipe, retrouvant ainsi l'établissement d'Enstone, un lieu déjà connu de l'ingénieur français.

Dans cette fonction inédite, il sera à la tête du département technique à Enstone et se chargera des grandes orientations en matière de Performance, d'Ingénierie et d'Aérodynamique de l'équipe.

Dans la nouvelle architecture technique de l'équipe, qui repose sur trois piliers essentiels récemment introduits, David coordonnera les efforts aux côtés de Ciaron Pilbeam (directeur technique performance), Joe Burnell (directeur technique ingénierie) et David Wheater (directeur technique aérodynamique), qui dépendront directement de lui.

Il intègre l'équipe immédiatement et rapportera directement à Bruno Famin, le team principal de l'écurie et directeur d'Alpine Motorsports.

Andretti

Le Congrès des États-Unis a envoyé une lettre à la F1 pour demander des explications concernant sa décision de refuser la candidature d'Andretti pour rejoindre le plateau de la compétition avant 2028 au plus tôt.

Dans cette missive, signée par une douzaine de membres du Congrès, sont exprimées des "inquiétudes concernant des actions apparemment anticoncurrentielles qui pourraient empêcher deux entreprises américaines, Andretti Global et General Motors (GM), de participer et de concourir en Formule 1".

Daniel RICCIARDO | Visa CashApp RB

Un casque spécial #MiamiGP pour Daniel Ricciardo, qui devrait superbement coller avec la livrée unique de sa F1 VCARB.
 Miami 2024

Visa CashApp RB

Une livrée spéciale très rafraîchissante pour VisaCashApp RB (VCARB) à Miami.
 Miami 2024

Charles LECLERC | Ferrari

Le casque bleu spécial Miami de Charles Leclerc.
 Miami 2024

Sergio PÉREZ | Red Bull

Le casque spécial Miami de Checo Pérez.
 Miami 2024

Ferrari

La livrée de la Ferrari pour le Grand Prix de Miami 2024 a été dévoilée.
 Miami 2024

Red Bull

Adrian Newey : son départ est officialisé par Red Bull.

Il quittera le Red Bull Technology Group au premier trimestre 2025.

Il se retire des tâches F1 et se concentrera sur l’hypercar RB17.

Fernando ALONSO | Aston Martin

Aston Martin a formulé une demande de révision concernant les pénalités reçues par Alonso lors du Sprint chinois.

Une audience virtuelle est prévue pour le 3 mai.
 Chine 2024

Communiqué de presse du Grand Prix de Miami 2024 par Pirelli, traduit :

"Le Grand Prix de Miami est la sixième manche de la saison, la première des trois qui se tiendront aux États-Unis d'Amérique. Se déroulant du 3 au 5 mai, il s'agit de la troisième édition de cette course qui a fait son apparition au calendrier en 2022. Le circuit urbain temporaire contourne le Hard Rock Stadium, une enceinte polyvalente qui abrite l'équipe de football américain des Miami Dolphins et qui accueillera également, entre autres, la finale de la Copa America de football cette année. Les zones réservées aux équipes de Formule 1 se trouvent en fait à l'intérieur de l'installation, ce qui crée une atmosphère vraiment unique pour un week-end de Grand Prix.

Le circuit, long de 5,412 kilomètres, que les pilotes emprunteront 57 fois le dimanche, comporte 19 virages, trois lignes droites, trois zones de DRS et des vitesses de pointe pouvant dépasser les 340 km/h. Il présente également quelques changements d'altitude, le principal se situant entre les virages 13 et 16, avec une montée et une descente au-dessus d'une rampe de sortie et sous divers ponts. L'approche de la chicane aux virages 14 et 15 se fait en montée, avec un sommet au milieu avant que la piste ne redescende à la sortie.

Les trois secteurs sont chacun différents en termes de caractère, offrant un tour qui a un peu de tout. La première partie comporte une série de huit virages à haute vitesse, tandis que le deuxième secteur présente une longue ligne droite et quelques virages à basse vitesse. La ligne droite finale menant à la ligne d'arrivée comprend une ligne droite et trois virages fluides. Il n'y a que deux courses sur lesquelles se baser pour les statistiques et elles suggèrent que le Grand Prix de Miami se situe dans la moyenne en ce qui concerne le nombre de dépassements. En ce qui concerne les forces, tant latérales que longitudinales, auxquelles les pneus sont soumis, il est considéré comme l'un des circuits moyens à faibles du calendrier.

Les trois composés de pneus choisis pour le sec par Pirelli pour cette manche sont dans la moyenne : C2 en durs, C3 en médiums et C4 en tendres. La piste a été resurfacée avant la course de l'année dernière et est très lisse, offrant donc une adhérence assez faible, une caractéristique aggravée par le fait qu'elle n'est utilisée pour aucun autre événement de sport automobile. Cela entraîne une évolution significative de la piste et le graining pourrait apparaître, particulièrement avec les pneus médiums et tendres.

Miami jouit d'un climat tropical avec des températures de l'air dépassant généralement les 25°C, atteignant très souvent les 30°C, le record étant de 33°C. Dans les dix premiers jours de mai, il fait généralement ensoleillé, mais il peut y avoir une accumulation météorologique conduisant à des averses ou des orages un jour sur deux ou trois. Le vent est une brise marine avec des rafales allant jusqu'à 50 km/h. Le nombre moyen de jours en mai où la température dépasse les 30°C est passé de 13 jours dans les années 90 à 23 au cours de la dernière décennie. L'année dernière, la surface de la piste a atteint 55 °C, l'un des chiffres les plus élevés de la saison.

En termes de stratégie, le Grand Prix de Miami est une course classique à un seul arrêt, avec les composés dur et médium comme favoris absolus. L'année dernière, Verstappen est parti neuvième sur la grille avec des pneus Hard avant de passer aux Mediums, tandis que les deux autres pilotes qui ont atteint le podium, Perez et Alonso, ont fait l'inverse (médiums puis durs).

C'est également un week-end Sprint, donc avec seulement une heure d’essais libres le vendredi matin pour essayer de trouver le meilleur réglage ainsi que d'évaluer le comportement des pneus."

Et le manufacturier Italien de pneumatiques annonce des casquettes turquoises en édition spéciale pour les trois pilotes qui monteront sur le podium.
 Miami 2024

Haas

Komatsu, directeur de l’écurie Haas : "De nos jours, il n'y a pas de course à domicile sans un nouveau look, et à Miami, nous collaborons avec notre partenaire Palm Angels sur un nouveau design pour les combinaisons des pilotes."
 Miami 2024

Oscar PIASTRI | McLaren

Casque spécial #MiamiGP pour Oscar Piastri.
 Miami 2024

Nico HÜLKENBERG | Audi

Nico Hülkenberg file chez Audi en F1 !!!

Haas venait d'annoncer qu'à la fin de la saison 2024, l'Allemand et l'écurie américaine prendraient des chemins différents !

Nico HÜLKENBERG | Haas

La petite bombe : Nico le Hulk Hülkenberg ne continuera pas chez Haas en 2025 !

Charles LECLERC | Ferrari

Ferrari a présenté les combinaisons spéciales arborées par ses pilotes pour le Grand Prix de Miami. Le bleu est a l’honneur et la livrée de la SF-24 se fait désirer.
 Miami 2024

Ferrari

La Scuderia Ferrari a officialisé son partenariat avec Hewlett-Packard a.k.a. HP. Ils deviennent donc sponsor titre de l'écurie italienne qui s'intitulera désormais Scuderia Ferrari HP.

Comme les deux GP qui le précèdent (Imola et Monaco), le circuit Gilles Villeneuve sera parcouru avec les gommes C3 à C5.
 Canada 2024

Assez logiquement, le circuit urbain monégasque sera caressé par les pneumatiques les plus tendres de la gamme Pirelli : les C3, C4 et C5.
 Monaco 2024

Sélection pneumatique hyper tendre pour Imola : C3 à C5 !
 Émilie-Romagne 2024

Lance STROLL | Aston Martin

L'explication de Lance Stroll, pour finalement justifier son accident dans l'arrière-train de la VCARB de Ricciardo qu'il tenait initialement pour responsable, a été de parler de "concertina effect" (effet chenille ou effet accordéon). Sur les onboards, on peut effectivement penser que cet effet d'accélération / décélération en chaîne a été débuté par Sainz, subi par Alonso et ainsi de suite.
 Chine 2024

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Casque spécial États-Unis pour Verstappen ! Il le portera donc au #MiamiGP, au COTA pour l’#USGP et au #LasVegasGP.
 Miami 2024

Ferrari

Au Grand Prix de Miami, Ferrari présentera deux nouvelles nuances : Azzurro La Plata et Azzurro Dino.

Ces deux bleus seront notamment repris dans une livrée spéciale de la SF-24, qui sera utilisée uniquement pour la course de Miami et dévoilée directement en Floride.

Le bleu le plus clair, Azzurro La Plata , la couleur nationale des courses argentines, fait également écho à la couleur portée par le légendaire pilote Alberto Ascari lors de ses saisons les plus réussies. Le double champion du monde italien portait habituellement un maillot bleu accompagné d'un casque assorti, qu'il considérait comme son porte-bonheur. La même couleur a également été vue sur les combinaisons de course des pilotes dans les années 1960, notamment celles de John Surtees, Lorenzo Bandini, Ludovico Scarfiotti et Chris Amon. La combinaison de course de Niki Lauda lors de sa première année avec la Scuderia Ferrari était également de ce bleu, tout comme les chemises portées par l'équipe de Maranello.

L'autre couleur que Ferrari fait revivre pour Miami est Azzurro Dino , une nuance de bleu plus profonde privilégiée par de nombreux pilotes de la Scuderia dans le passé, comme Arturo Merzario et Clay Regazzoni, ce dernier étant le plus récent à la porter en 1974. à partir de maintenant, les combinaisons des pilotes sont passées du bleu au rouge, avec des passages occasionnels au blanc.

Cette sélection de couleurs sert également de clin d’œil historique au lien entre Ferrari et la scène automobile américaine. Il marque le 70e anniversaire de la présence de la marque en Amérique du Nord, où l'emblématique Rosso Corsa – un rouge synonyme des voitures de course italiennes depuis les années 1920 – a été supplantée par la livrée blanche et bleue américaine pour les deux dernières courses de la saison 1964 de Formule 1. une combinaison qui a également été utilisée sur d'autres voitures de course Ferrari par la North American Racing Team (NART) fondée par l'importateur Luigi Chinetti. Sur certains véhicules NART, le bleu des jantes était associé à une livrée rouge pour créer une combinaison de couleurs intrigante et captivante.
 Miami 2024

Ayrton SENNA |

La Honda NSX personnelle de la légende de la F1 et triple champion du monde Ayrton Senna a été mise en vente cette semaine pour la coquette somme d'un demi-million de livres (environ 580000 €). La voiture affiche quelques 63000 km au compteur.

FIA

Retranscription des opinions exprimées par Max Verstappen et Lando Norris en réponse à Jérôme Bourret de L'Équipe, concernant le retour de la course en Chine, le circuit, l'atmosphère et le nouveau format de Sprint :

Max Verstappen : "Oui, je veux dire, ce circuit a toujours été agréable. Vous savez, j'ai toujours aimé piloter ici. C'est assez technique, il y a aussi de la dégradation. Cela en fait un Grand Prix spécial, un Grand Prix amusant. Les fans sont super, vous savez, grande tribune, donc l'atmosphère est géniale. C'est toujours très agréable d'être ici. Le format Sprint était meilleur, je pense. Un peu plus simple, je dirais. Mais oui, ne faisons pas trop non plus, vous savez, car nous faisons déjà 24 courses par an, et six de ces événements Sprint également. Je comprends. Je suppose que cela se vend mieux et attire plus de spectateurs à la télévision, mais c'est aussi plus de stress pour les mécaniciens et tout le monde, pour que tout soit toujours parfait, donc oui, nous l'acceptons, je veux dire qu'il faut faire avec, mais ne pensons pas qu'il nous en faut maintenant 12 parce que cela pèsera aussi sur les gens."

Lando Norris : "Pas grand-chose de plus à ajouter. Probablement une meilleure configuration que l'année dernière, c'est sûr. Le circuit… c'était ma première fois à terminer une course ici, donc ça fait du bien. Mais je suis d'accord avec Max. Pour être honnête, je préférerais toujours l'ancien format de course original. C'est ce que j'ai grandi en regardant, c'est ce que j'ai toujours le plus aimé. J'aime juste entrer et avoir la pression tout de suite. Donc le fait d'avoir une seule séance d'essais directement avant les qualifications, ça me plaît. Je pense que cela donne moins de chances aux gens de juste rendre la voiture parfaite et je pense que c'est là que vous commencez à voir équipe, équipe, équipe, équipe plutôt qu'un mélange. Donc je pense que cela fonctionne de ce point de vue. Mais le principal point est le poids que cela représente pour les mécaniciens et les ingénieurs. Je ne pense pas que ce soit trop mal pour nous en tant que pilotes, honnêtement. Je ne pense pas que nous puissions être ceux qui se plaignent du tout. Ce sont les centaines de mécaniciens et ingénieurs que nous avons ici qui doivent voyager autant. Ce n'est pas sain pour eux. Ce n'est pas viable. Donc, oui, le problème n'est pas avec nous. Donc, ce n'est pas quelque chose que vous devriez nous demander. C'est quelque chose dont les gens devraient plus se préoccuper pour le reste de l'équipe. Et je pense que c'est un facteur limitant, pas le fait de pouvoir aller dans la voiture tous les jours, car je pense que nous pouvons mais ne pas en faire trop pour eux, je pense que c'est la priorité."
 Chine 2024

Sergio PÉREZ | Red Bull

Classé troisième en Chine, Sergio Pérez a été interrogé sur ses 17 derniers tours, de son duel avec la Ferrari de Charles Leclerc et s'il pensait pouvoir rattraper Lando Norris : "À ce moment-là, l'écart était déjà assez grand et étant donné la bonne gestion de la dégradation de ses pneus durant le premier relais, je savais que cela allait être serré. Mais une fois que nous avions à peu près le même rythme, et une fois que vous dépassez la voiture devant et que vous arrêtez de vous battre pendant je ne sais combien de tours nous avons fini par nous battre entre Charles et moi, alors c'est vraiment la fin de la partie. Vous usez tellement vos pneus. Vous mettez tellement d'énergie dedans qu'ils ne reviennent jamais vraiment. C'est un circuit où la dégradation est assez élevée et j'en ai payé le prix, vous savez, mais c'était la seule façon de passer Charles, parce que nous avions des pneus de même usure et il était vraiment difficile de le dépasser."

Pense-t-il avoir été en difficulté tout au long de ce Grand Prix, dès le départ lorsque Fernando Alonso l'a dépassé ? Le Mexicain a répondu :"J'étais évidemment à l'intérieur par rapport à Max [Verstappen] et j'ai dû freiner plus tôt. Et Fernando était à l'extérieur. Mon départ n'était pas si bon. Donc oui, cela signifie que j'ai perdu la place face à Fernando. Et encore, j'ai dû me battre assez dur pour le dépasser. J'ai probablement un peu trop usé mes pneus. Et cela m'a définitivement mis en difficulté pour le premier relais. Donc non, ce n'était pas une course simple. Mais j'ai aussi l'impression que nous sommes allés dans la direction opposée avec les changements que nous avons faits du Sprint à la course. J'ai l'impression que nous avons probablement fait un pas en arrière."

D'autant qu'il n'était pas non plus satisfait de la performance de la voiture lors du Sprint : "Eh bien, je pense que je me battais juste, vous savez, dans le peloton. Une fois que vous êtes dans le peloton, il est très difficile de comprendre ce que fait réellement l'équilibre [de la voiture]. Vous savez, quand vous avez deux, trois voitures devant vous, vous avez beaucoup moins de charge dans votre voiture, donc c'est vraiment difficile de savoir où est votre équilibre. C'est juste une limitation que j'avais aujourd'hui. C'est probablement quelque chose que nous devons revoir pour voir les directions que nous avons prises, pour voir ce que nous aurions pu faire mieux."
 Chine 2024

Lando NORRIS | McLaren
FIA

En conférence de presse post-Gp de Chine 2024, Lando Norris a été questionné sur ce qu'il avait pensé au milieu de la course lorsque la VSC (voiture de sécurité virtuelle) est sortie juste après qu'il ait dépassé l'entrée des stands. "Je le savais. Oui, il y a eu quelques jurons, vous savez. C'était évident qu'il allait y avoir une VSC. Mais elle n'est pas sortie tout de suite. Je me disais : 'Je parie qu'elle va sortir juste quand je vais contourner le dernier virage', et c'est exactement ce qui s'est passé. Même mon ingénieur l'a dit. Je le lui avais dit. Heureusement, elle est restée active assez longtemps et ensuite, elle est passée à la voiture de sécurité. C'était bien, je pense que notre stratégie a bien fonctionné. J'étais confiant lors du premier relais, donc j'ai pu continuer très longtemps. Si la VSC avait été retirée avant que j'arrive à l'entrée des stands, j'aurais été beaucoup plus ennuyé que je ne le suis actuellement. Mais oui, les choses ont clairement tourné en notre faveur. Parce que cela a obligé les Red Bulls à s'arrêter à nouveau. Et cela m'a évidemment permis de me retrouver devant Checo avec la Ferrari entre nous. Et cela m'a probablement un peu sauvé."

Qu'a-t-il pensé de son duel avec la Red Bull de Checo Pérez lors des 17 derniers tours de course, le pilote mexicain n'arrivant pas à se rapprocher de lui : "Difficile à dire. Je pense que c'est un circuit où, quand vous contrôlez la situation et que vous pouvez gérer les choses, cela peut vraiment jouer en votre faveur. Et je pense que c'est là que la course était si différente pour nous par rapport à hier, vous savez. J'étais derrière tout le peloton. Vous surchauffez vos pneus, vous avez du mal. Il n’y a pas grand-chose à faire. Et aujourd'hui, je pouvais contrôler les choses moi-même. J'ai pu rapidement prendre de la distance avec Charles. Et ensuite, Charles a beaucoup retardé Checo. Et Checo a probablement dû beaucoup utiliser ses pneus pour essayer de le dépasser. Donc oui, cela dépend de la façon dont vous voyez les choses. Je m'attendais peut-être à un peu plus de bataille, mais quand je sais combien il a poussé au début pour dépasser la Ferrari, cela m'a permis d'être un peu plus à l'aise, ce qui était agréable."
 Chine 2024

Max VERSTAPPEN | Red Bull
FIA

Max Verstappen a exprimé sa satisfaction après un week-end dominé par sa performance, notamment avec sa victoire lors de la course Sprint. "C’est toujours un peu chaotique lors des week-ends avec Sprint, mais là, tout s'est très bien passé, donc je suis vraiment content. De plus, je pense que notre voiture s’est encore améliorée par rapport à la course Sprint, ce qui a rendu ma tâche un peu plus facile [le dimanche en course]", a-t-il déclaré.

Interrogé sur les défis de la course, notamment avec les redémarrages après les voitures de sécurité, Verstappen a trouvé que les interruptions étaient un peu longues. Il a trouve que cela prenait du temps pour dégager les voitures, et il trouvait qu'ils restaient un tour de trop derrière la voiture de sécurité, sans raison. Cela a rendu la course un peu moins amusante, car cela limitait les différentes stratégies entre les voitures, a-t-il expliqué.

Concernant les incidents durant la course, Verstappen a mentionné quelques petits soucis. "J'ai bloqué mes roues au deuxième redémarrage dans le virage 6, je pense, un peu. Ce n'était donc pas idéal. Ensuite, j'ai jeté un tear-off, que je pense avoir entendu dans l'admission d'air. Il volait autour et frappait mon casque. Je ne sais donc pas où il a fini. Et il y a deux tours, je pense que j'ai roulé sur un peu de débris avant le virage 14. C'était donc un peu effrayant, car avec tous les pneus, il est facile d'avoir une crevaison à haute vitesse lorsque vous passez sur du carbone. Je pense que c'était tout", a-t-il ajouté.

Enfin, sur la question de savoir si sa domination pourrait se poursuivre à Miami, il a souligné les incertitudes dues aux différences de circuit. "Miami est un tracé complètement différent, avec d'autres types de pneus et un autre type de surface donc on ne sait jamais. Nous devons être parfaits. [...] Nous devons trouver la meilleure configuration possible [...] mais je ne veux pas y penser maintenant. Nous nous préparerons comme d’habitude et espérons que ce sera suffisant sur place", a conclu Verstappen.
 Chine 2024

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